Voilà, j'ai tenté de faire un poème sur les nordiques... Ça m'a plu de le faire, et j'espère que ça vous plaira de le lire.
Ceci est un repost d'un ancien poème écrit et posté sur un autre forum.
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C’est la vallée où d’autres ont combattu,
Et où se dressent maintenant des statues,
Qu’observent Thorolf Asgeirson et les siens,
Car le clan Olfson les a défiés,
Pour un tort causé en des temps anciens,
Et sur cette plaine le fer doit être croisé.
De l’autre côté de cette vallée,
Les Olfson et leurs guerriers sont prêts.
Une prière et une pinte de bière,
Puisse Odin les soutenir dans cette guerre.
En face, une ombre s’avance, menaçante,
C’est Rolf, un colosse à la force fracassante,
Qui se montre sur le champ de bataille, lui
Qui ne craint ni le feu, ni même la pluie.
Thorolf fait venir sa jeune écuyère,
Pour qu’elle l’aide à mettre son armure.
Les combattants sont prêts.
Le temps est arrivé.
Ruée des deux camps.
Un fracas épouvantable s’étend sur le champ de bataille.
Des corps commencent à joncher le sol,
Même Thorolf et Sigurd Olfson sont de la bataille.
L’un devant l’autre, ils se dévisagent.
Les Ases surveillent la bataille,
Ils savent qu’entre les deux clans
Le combat sera rude.
Les Valkyries sont déjà présentes,
Prêtes à emmener à Asgard les valeureux combattants,
Tombés au combat.
Les guerriers se combattent avec autant de hargne,
Que si c’était Ragnarok.
Les attaques des guerriers ne font pas reculer leurs adversaires.
Thorolf tenta d’envoyer sa hache,
Sigurd l’en empêcha.
Le combat enragé dura toute la journée,
Que ce soit celui des soldats ou celui des chefs.
Les soldats, qui n’en pouvaient plus,
Se sont retirés dans leurs villages respectifs,
Laissant les chefs se battre seuls.
Leurs armes s’entrechoquent de manière puissante.
Les lames finirent par se briser. Mais les deux chefs
Ne se laissent pas abattre, et décident
De continuer avec leurs poings.
Leur duel se continua pendant 5 jours
Et 5 nuits, puis devant eux apparurent
Deux Valkyries, étincelantes guerrières
Sur leurs grands chevaux blancs.
Elles dirent que les deux guerriers
S’étaient très bien battus, et qu’ils
Avaient amplement mérité leur place
Là-haut, avec leurs ancêtres, leurs guerriers,
Et, plus important encore, avec leurs dieux.
Ainsi se termine la saga d’Asgeirson, aussi loin que je puisse m’en souvenir.
Mon nom est Caliban. Je suis le Surveillant.