Étrange tristesse aux portes ouvertes
Dissolvant l'once de gaieté m'habitant
Illustre organe, fruit d'un dur labeur
Averse qui s’étend aux profondeurs vertes
Livre fermé, soudain ouvert par consentement.
Elle fut la trahison, elle noircit mon cœur
Dans ce texte quelque peu nuancé
Avec tous mes regrets je vais vous quitter
Littérature devenue pour moi un simple refuge.

Méfiez vous des gens dehors, tout ce qu'ils veulent c'est votre corps. Ne pas répondre à leurs appels, ne pas gagner leurs subterfuges.

Étrange tristesse aux portes ouverte => portes ouvertes au profondeur verte => aux profondeurs vertes tout mes regrets => tous mes regrets leur appels => leurs appels leur subterfuge => leurs subterfuges EDIT (merci Gimini, d'avoir corrigé cette erreur d'inattention !) : tout ce qui veulent => tout ce qu'ils veulent

J'aime moins celui-ci que les deux autres que je viens de lire, je trouve le rythme un peu trop rapide, trop de choses se succèdent et on ne comprend pas suffisamment ce qui les unit

Hey, après de looogues années de malheurs, je reviens par ici ! (oui je suis infidèle )

Alors pour ma part j'aime bien même si j'ai été perplexe de bout en bout.

Par contre j'ai pas du tout aimé la dernière phrase. Elle rend encore plus perplexe et je me suis dit "ça fait encore partie du poème, ça ?" Parce qu'on a des vers et d'un coup pas, tout en une ligne.
Et puis c'est "tout ce qu'ils veulent. Et gagner des subterfuges, pour moi ça ne se dit pas et du coup bah... j'ai été encore plus perplexe ! (oui, c'est la journée mondiale de la perplexité chez moi ! )

Sinon continue comme ça !