J'm'ennuuuuie !
C'est même pas bien fait comme exercice d'écriture...
Je rêve de coucher
Sur ce papier les mots
Sans aucune douceur
Qui me font me sentir
Avec toi sale bête,
Pour confesser mes crimes :
Ah ! Les pires des vices !
Mes sentiments décents
Seront bientôt porteurs
De ma rédemption :
Des plus charmants délices
Je ne chercherai plus
L'excès qui trop souvent
Veut me tenter. Ô toi,
Ne me satisfais pas,
Laisse-moi toute vierge !
Donne à ma vie un sens !
Chastes, demeurons chastes !
Ainsi inassouvi
Notre idéal est sauf.
Il me donne l'envie
De blâmer les amants
De baiser tout le jour
En toute impunité,
Car il est bien trop faible
Le cœur de ceux qui cèdent
A des pulsions primaires.
Demain nous partirons :
Nos corps se livreront
A la seule Nature,
A jamais et toujours !
Je quitterai ces pauvres
Délires d'une nuit
Pour vivre en ermitage.
On me retrouvera
Prête à déménager
Le nez en cent cartons
Jugeant qu'un peu de re-
Cul m'est nécessaire.
Je dirai donc adieu
A mes inavouables
Péchés et à tous ces
Fantasmes dont je ne
Suis pas fière. Tu
Parviens à me défaire
De mes mauvais travers
Car je suis attachée
A ma Vertu et non
Aux orgies dépravées
D'âmes perdues au foutre
Et au libertinage.
Vertu, pour tes beaux yeux
Je me voue corps et âme.
- Parce qu'il fallait bien que le texte ait un intérêt...:
Je rêve de coucher sans aucune douceur avec toi sale bête. Ah ! Les pires des vices seront bientôt porteurs des plus charmants délices. L'excès, qui trop souvent ne me satisfait pas, donne à ma vie un sens : ainsi inassouvi, il me donne l'envie de baiser tout le jour, car il est bien trop faible. A des pulsions primaires nos corps se livreront, à jamais et toujours. Délires d'une nuit, on me retrouvera le nez en sang car ton cul m'est nécessaire. A mes inavouables fantasmes dont je ne parviens à me défaire, car je suis attachée aux orgies dépravées et au libertinage ; je me voue corps et âme.