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| MidnightMaîtresse incontestée des vices infantiles Messages : 359 Date d'inscription : 29/07/2014 Age : 24 | Sujet: Votes concours Halloween Mar 9 Déc - 18:09 | |
| Plus d'un mois après Halloween, je vous dévoile enfin les participations N'hésitez pas à laisser un petit commentaire sur les textes, c'est finalement plus utile qu'un vote pour s'améliorer Bonne lecture - Halloween:
Je haïs Halloween. Me voici, déguisé en une créature hybride entre le vampire et la sorcière, déambulant dans les rues déjà froides de mon patelin. J’aurais préféré rester chez moi, à regarder une quelconque ânerie télévisuelle, observant les autres gamins défiler par la fenêtre.
Il pleut.
Le sol déjà détrempé par les averses d’Octobre ne semble plus pouvoir absorber ne serait-ce une goutte supplémentaire. Je saute par-dessus une flaque, et éclabousse un autre groupe d’enfants. Ces derniers s’en rendent à peine compte, tellement leurs costumes sont imbibés d’eau. Devant moi, Sébastien : d’ordinaire un petit maigrichon à lunettes, aujourd’hui un lycanthrope paraissant atteint d’une grave maladie de peau. Sans doute sa sœur qui a dû abuser du maquillage. Il court, criant des « venez, on n’a pas fait cette maison » ! Et nous y allons.
Gabriel, accoutré d’un déguisement de squelette faisant apparaître ses bourrelets, frappe à une porte. Un vieil homme apparaît dans l’encadrement, marmonne « j’t’en ficherais, moi, des bonbons », jette une poignée de friandises sans même nous accorder un regard, et referme aussi sec. Gabriel est néanmoins satisfait de sa collecte, puisqu’il revient vers nous en souriant, plaçant les gourmandises dans le sac fermement tenu par Marine, la mieux déguisée d’entre nous. Elle m’a dit qu’elle était Freddy, un psychopathe d’un film des années 80. Je ne connais pas, et ma mère m’interdirait certainement de regarder. Elle est vraiment terrifiante, avec ses doigts prolongés par de longs couteaux et son maquillage, définitivement mieux réussi que celui de Sébastien. Si elle n’avait pas été là, je serais resté chez moi. Et nous marchons jusqu’à la maison suivante.
C’est incroyable à quel point le temps comme le lotissement peuvent sembler longs. Enfin, il me semble que nous en voyons la fin, la dernière maison du pâté paraissant vide.
- Bon, on peut rentrer maintenant ? Demande-je, plein d’espoir. J’ai froid. - Attends ! Il reste la maison sur la colline ! me dit Sébastien, impitoyable. - Tu es fou, c’est à dix minutes de marche. - Justement, personne n’y sera allé, il aura plein de bonbons, c’est un spot idéal !
Je savais mon combat perdu d’avance, et me résigne. Gabriel et Marine marchent déjà en direction de la maison. Enfin, maison n’est pas le terme le plus approprié, manoir serait plus adapté.
Après un long moment sous la pluie battante, le manoir est enfin en vue. Vous savez, il est toujours difficile de discerner les constructions au loin, le soir et sous les précipitations, mais ce manoir, il me semble que je ne l’ai jamais vu nettement, tant la brume reste en permanence au sommet de la colline sur laquelle se dresse notre destination. J’ai eu l’espoir qu’il n’y ait personne là-haut ; une lueur vacillante m’ôte rapidement cette espérance.
Le chemin que nous empruntons n’est pas fréquemment foulé, en témoignent les épaisses touffes d’herbes poussant entre les pavés désagencés par les années. Soudain, à travers la brume automnale, un épais mur attaqué par les plantes grimpantes apparaît de part et d’autre du chemin. Sur la route, un portail de fer forgé, oxydé depuis longtemps. L’un des montants s’est à moitié effondré, ne tenant le battant que par une seule charnière. Gabriel tourne la poignée et s’escrime à pousser le portail, chose qu’il ne parvient à faire qu’après d’intenses efforts. Le manoir se dévoile enfin.
Jamais je n’aurais pu croire que le manoir serait si grand. Lorsqu’on est en bas, il est caché par la végétation, et on ne distingue que les plus hautes fenêtres dépassant la cime des conifères. De chaque côté de nous, la masure déploie de longues ailes, comme pour mieux nous happer et nous tenir dans ses serres. Une multitude de larges ouvertures transpercent la façade de pierres, elles-mêmes recouvertes d’une épaisse couche de crasse noire. Se dressant fièrement face à nous, une double porte de chêne massif garde jalousement l’entrée. La pluie tombe, et chaque goutte qui s’écrase retentit dans le silence de la nuit. Certaines frappent les tuiles, d’autres les gouttières de zinc en émettant toute une gamme de sons métalliques. Il n’y a aucune lumière dans le parc du manoir, à part une lueur au plus haut du manoir. L’atmosphère qui se dégage de ce lieu est troublante, oppressante. Une odeur d’humidité mêlée à celle de l’herbe coupée flotte. La foudre tombe, et s’abat non loin de nous. Le tonnerre couvre le crépitement de la pluie quelques instants. Si j’avais été seul, il y aurait longtemps que j’aurais pris mes jambes à mon cou, mais, lorsqu’on est en groupe, personne ne veut paraître plus lâche que les autres. Nous nous regardons, marquons une pause, puis Sébastien fait un pas en avant, sans dire un mot. Nous le suivons.
Les doigts de Sébastien s’écrasent contre la porte en émettant un « toc » totalement silencieux par rapport au bruit environnant. Personne ne nous entendra, soupire-je.
Un cri.
On n’aurait pas pu qualifier ce cri d’humain tellement il fût aigu. Mais ce cri, même bref, semble persister au-dessus du vacarme du déluge. Mon cœur paraît s’arrêter, je sens un frisson me remonter lentement l’échine avant de mourir dans mon cou, et me retourne vivement. Marine a fermement agrippé le bras de Gabriel, tétanisé. Sébastien recule d’un pas, trébuche, effectue une rotation puis commence à courir en direction du portail. Nous le suivons. Il est déjà trop tard.
Remontant l’allée, une silhouette encapuchonnée nous fixe. Trapu, les traits indiscernables, l’individu n’esquisse aucun mouvement.
- Massacre au Chocoboo:
- Alors vous vous dégonflez ? La question avait été formulée par Freddy qui, un sourire au lèvres, toisait la bande de sa haute stature de capitaine de l'équipe de soccer. Il était notre leader et comme de bien entendu, c'était à lui que revenait le droit de sortir avec l'unique fille du groupe : Jenna. Il était d'ailleurs de notoriété publique qu'ils faisaient régulièrement l'amour dans les toilettes du lycée de Albert Hall. Évidemment, ces statistiques concernant la part occupée par les femmes dans notre petit groupe étaient légèrement faussés par Charlie, individu de sexe féminin à qui il manquait cependant au moins deux arguments pour réellement prétendre au titre de « fille ». Arguments dont n'était d'ailleurs pas dépourvue la belle Jenna que Freddy aimait à peloter quatre à cinq fois par jour. - Ben... c'est Fisher Hill, mec. Ça en impose un peu. Will, toujours un joint au bec et prêt à dégainer une blague salace. Pas d'une intelligence remarquable, mais peut-être aurait-il pu me surprendre un jour où il n'aurait pas été défoncé ? - Ne me dis pas, répliqua Andrew, que tu as peur d'aller rendre visite à un vieillard sénile ? Pense à l'argent. Tu te souviens ? Dexter a calculé qu'on pouvait se faire au moins cent livres en quelques jours ! Je hochai la tête pour confirmer. Les autres me considéraient comme le cerveau de la bande. C'était moi qui avais eu l'idée de récolter un maximum de bonbons le jour d'Halloween pour les revendre ensuite aux enfants. Andrew, que la perspective de gagner de l'argent facile avait toujours enchanté avait tout de suite été partant. Les autres avaient fini par se laisser convaincre par Freddy qui cherchait le frisson à travers des activités illégales. C'est ainsi que nous nous retrouvâmes dans la nuit d'Halloween en face de la porte d'entrée du manoir de Fisher Hill déguisés dans des accoutrements ridicules et hésitant à presser le bouton d'une sonnette en forme de crâne. - C'est la dernière maison, ça nous tuera pas, fit Charlie en haussant les épaules. - Allez, je sonne, lança Jenna en liant le geste à la parole. Les cavités du crâne s'illuminèrent et une voix de femme très sensuelle s'exclama : - Bienvenue à Fisher Hill ! Dans le même temps, la lourde porte s'ouvrit toute seule offrant à notre vue un hall sombre et désert. - Dément ce truc ! s'extasia Will. J'aimerais bien lui presser sa sonnette moi à la petite dame ! Et il appuya de nouveau sur le bouton pour réentendre la voix qui nous avait accueillis. Cependant, cette fois ce fut le timbre d'un homme furieux qui tonna : - Vous allez crever, passez votre chemin ! Ce qui jeta, il faut bien l'avouer, un léger froid dans nos rangs. - Vous l'avez entendu ? On devrait peut-être faire demi-tour ? murmura Jenna. - Nope chérie, rétorqua Freddy. C'est juste un truc pour faire peur aux gamins, mais ça marche pas avec moi. On rentre. Et la bande pénétra avec plus ou moins d'assurance à l'intérieur du manoir de Fisher Hill.
La porte claqua derrière nous. Andrew se précipita dessus pour essayer de l'ouvrir : - Elle est fermée, constata-t-il d'une voix blanche. - Ce sale vieillard a tout manigancé pour nous faire peur, sourit Freddy. Bon, partons à sa recherche avant que l'un de nous ne se pisse dessus ! Devant nous, trois portes et un escalier de pierre menant à l'étage supérieur. - Je propose d'aller vers les chambres, déclara Andrew en reprenant un peu d'assurance, c'est toujours là que les gens planquent leur argent ! - T'es bien placé pour le savoir sale radin ! persifla Will. Bon, aux chambres donc ! Charlie leur jeta un regard noir : - Je vous rappelle qu'on est ici pour demander des bonbons de manière honnête, pas pour jouer les cambrioleurs ! - Demander des bonbons de manière honnête pour les revendre malhonnêtement, répliqua Andrew en haussant les épaules. Quelle différence ? - Bon, on y va ? demanda Jenna agacée. Je tiens pas à rester là toute la nuit ! - Séparons-nous, proposa Freddy. On commence par le rez-de-chaussée. Will et Andrew, vous allez explorer de ce côté-ci, Dex et Charlie par là et moi j'irai avec Jenna par cette porte. On se retrouve ici, dans le hall, dans dix minutes, des objections ? Personne ne moufta et nous partîmes dans la direction que nous avait attribuée Freddy.
Einstein expliquait la relativité en disant qu'une heure avec une jolie femme semblait durer une minute alors qu'une minute sur un four brûlant semblant durer des heures. Les dix minutes que je passai avec Charlie me semblèrent durer une éternité. Nous découvrîmes une salle de bain des plus banales et une chambre sinistre qui n'avait de toute évidence pas accueilli d'occupant depuis un certain temps. Après avoir inspecté ces pièces, nous nous résignâmes à rejoindre le hall, bredouilles.
Les autres attendaient et n'étaient pas plus avancés que nous. Nous n'avions plus qu'à partir à l'étage pour continuer notre recherche du propriétaire. Nous commencions à gravir les marches de l'escalier lorsque Freddy s'enquit soudain : - Où est Andrew ? Nous regardâmes autour de nous. Effectivement, nous ne nous étions pas aperçus qu'il manquait à l'appel. - Je sais pas, répondit Will. La dernière fois que je l'ai vu il était dans la cuisine et dans le salon. - Arrête de fumer Will, il était dans la cuisine ou dans le salon ? - Ben... les deux. Sa tête était dans le salon et son corps dans la cuisine. - Ah, ouf ! Je croyais qu'on l'avait perdu ! déclara Freddy soulagé. - Putain, mais tu te rends pas compte Freddy ? s'écria Jenna devenue hystérique. Il est mort ! MORT ! - Ouais, ben c'est sûr, c'est embêtant, marmonna notre leader. Je sais pas comment on va annoncer ça à ses parents. Je crois qu'ils l'aimaient bien en plus même si c'était un gosse de riches... - Nan mais tu comprends pas ? s'emporta Jenna. C'était lui qui avait les Chocoboos ! Les enfants s'arrachent ces trucs et ça coûte une blinde ! - Merde, sursauta Freddy ! Partons vite à la recherche du corps !
Il s'avéra que la cuisine vers laquelle nous guida Will était déserte, à l'exception des armures de chevaliers qui la décoraient. - Aucune trace d'Andrew et des Chocoboos, soupira Charlie. Freddy allait lui répondre lorsque l'on entendit Jenna hurler : - Aaaah ! Freddy ! Notre meneur se retourna brusquement, prêt au pire : - Jenna ! Qu'est-ce qui se passe ? - Je me suis cassé un ongle et voulant inspecter cette armure, sanglota la malheureuse. - T'inquiète bébé, ça repoussera. Bon, qu'est-ce que je voulais dire déjà ? Il avait presque retrouvé son idée lorsque Jenna cria de nouveau : - Freddyyy ! Ce chevalier m'a coupé le bras droit ! - T'inquiète bébé, ça repou... enfin, il te reste l'autre ! Will commençait à s'impatienter : - Bon on y v... Mais Jenna s'époumona à nouveau, l'interrompant : - Freddyyy ! L'armure m'a coupé la tête ! - Alors pourquoi tu fermes pas ta gueule ? aboya l’interpellé. - Ah oui, j'avais oublié se souvint Jenna. Et elle se tut. - Bon... soupira Freddy. D'un côté ça m'arrange : je savais pas trop comment la larguer... Je l'aimais bien mais... une fille avec un seul bras c'est quand même moins sexy. - Du moment qu'elle a toujours ses deux boobs... répliqua Will avec un clin d’œil. Son regard se dirigea machinalement vers Charlie qui, heureusement pour lui était trop occupée à transférer les bonbons du panier de Jenna vers le sien pour prêter attention à ses remarques. - Pas deux fois la même erreur ! lança-t-elle. Lorsqu'elle eut terminé, Freddy nous enjoignit de retourner dans le hall et de gravir l'escalier afin d'explorer l'étage supérieur.
Peu enclins à nous séparer une nouvelle fois après ce qui était arrivé à Andrew, nous choisîmes une porte à gauche et découvrîmes une pièce qui renfermait sûrement plus d'araignées que je ne pourrais en contempler en toute une vie et au centre de laquelle était disposé un autel de pierre sur lequel on pouvait lire une inscription latine. A côté de l'autel, un poignard encore sanglant. - Tu connais le latin Dex ? interrogea Freddy. Je me rengorgeai : - Bien-sûr, tu me prends pour qui ? - Y a marqué quoi ici ? Je me penchai sur les lettres et déclarai : - C'est écrit : « Sacrifiez votre verge ici. » - PARDON ? sursautèrent ensemble Will et Freddy. - Ah, au temps pour moi, c'est « Sacrifiez votre vierge » ! - OK, je préfère, commenta Freddy. Amène-toi Charlie, on va voir ce qui se passe. - Vous déconnez j'espère ? balbutia l'intéressée. Et d'abord qu'est-ce qui vous prouve que je suis vierge ? - Je sais pas ricana Will, c'est mon petit doigt qui me l'a dit. - Bon, on perd du temps là ! pressa Freddy. Vas-y Will, coupe-lui la tête. - D'accord patron ! Et il se saisit du poignard pour sacrifier Charlie tandis que Freddy la maintenait sur l'autel avec mon aide. - Bah merde, il se passe rien... observa Will déçu. T'es sûr que c'était une vierge qu'il fallait sacrifier Dex ? - Absolument certain, affirmai-je. - Ben elle l'était peut-être plus alors. Tant pis.
Nous poursuivîmes notre exploration de la maison en pénétrant dans la pièce suivante. Elle était remplie de boîtes de verre au parois vitrées. Après nous être approchés des boîtes, nous découvrîmes qu'elles abritaient des serpents de toutes les espèces. - Un vivarium, m'exclamai-je. C'est fascinant ! - Mouais, ça m'inspire pas trop confiance à moi, grommela Will. - Eh, t'as peur de quoi ? demanda Freddy en lui assénant une tape dans le dos. Elles sont enfermées ces bestioles ! Will eut un mouvement de recul et bredouilla : - Freddy, ce serait pas un serpent là, autour de ton cou, en train de siffler près de ton oreille ? - M'enfin Will, répliqua celui-ci, parle plus fort ! Tu vois bien que j'ai un serpent autour de mon cou qui me siffle dans l'oreille ! - Ne bouge pas Freddy, murmurai-je. Ces bestioles là peuvent tuer un éléphant en cinq minutes. Freddy devint blême : - Oh putain les gars ! Cette sale bête s'est faufilée en dessous de mon T-shirt ! Je lui enjoignis de rester calme : - Bouge pas Freddy, il te fera pas de mal si tu bouges pas... Il tâchait de respecter mes consignes, mais il peinait à ne pas trembler de peur : - Il descend les gars , il descend... Oh merde, non, non, non ! Il est dans mon calbut, je fais quoi ? Il y eut un silence. Voyant que je ne répondais pas, Will lança un peu au hasard : - Euh... adresse une prière au Père Noël ? Mais Freddy n'eut pas le temps de l'entendre car il poussa un cri terrible : - AAAAAAAAAH ! Connard de serpent de merde ! Il m'a mordu la queue ! - Prends-le comme un compliment Freddy, t'en as une tellement longue qu'il a cru que c'était une femelle, s’esclaffa Will. Mais notre meneur sanglotait en se tenant les parties : - Putain, c'est pas drôle, ça fait un mal de chien ! Chui pas fichu Dex, hein, chui pas fichu ? Je n'osai pas le regarder et m'éloignai de quelques pas. - Il est fichu ? me demanda Will en aparté. - Eh bien, lui expliquai-je sur le même ton, l'un de nous pourrait aspirer le venin avec la bouche à l'endroit de la morsure mais... Will me dévisagea d'un air ahuri. Puis il reprit ses esprit et nous nous tournâmes vers notre leader pour déclarer dans un bel ensemble : - Désolés Freddy, t'es fichu. Et en effet, trois minutes plus tard il était mort.
Will et moi étions donc les deux seuls survivants de cette funeste visite. Nous entrâmes dans une nouvelle pièce dans laquelle s'entassaient des objets hétéroclites : trophées de chasse, horloges brisées, nains de jardins, perruques poussiéreuses... Dans un coin se trouvait la statue grandeur nature d'une femme nue avec le plus gros tour de poitrine imaginé depuis Jenna. Avec un flair propre à lui-seul, Will se dirigea vers la statue, comme aimanté. - Wahou... Mate les boobs ! Je suis sûr qu'ils tiennent même pas dans la paume de ma main... - Hum... Certes, mais il y a un petit panneau qui dit qu'il ne faut surtout pas y toucher. - Ce que t'es con Dex... Ils disent ça parce que ça fait déplacé de peloter une statue, c'est tout ! Et Will approcha ses mains avides des objets de sa convoitise. Cependant, à peine les avait-il effleurés qu'il tomba raide mort sur le sol, électrocuté à en juger par l'angle de sa chute. - Je t'avais dit de pas toucher, lançai-je en haussant les épaules. - C'est exact, tu lui avais dit de pas toucher. - Je sais Freddy, mais on m'écoute jamais... Euh... Attends... T'étais pas mort à la base, Freddy ? - Ce n'est pas Freddy, déclara la voix, menaçante. Je me retournai et aperçus un vieillard avec un couteau à la main. - Ah, vous êtes le proprio, je suppose ? - Exact gamin, et je vais te saigner ! Et il se jeta sur moi et plaça le couteau sous ma gorge, prêt à me découper comme un pourceau. La panique me gagna instantanément et je hurlai : - Pitié monsieur, j'ai dix-huit ans et la vie devant moi, je rentrerai plus jamais dans la maison d'un inconnu, je vous le jure ! Le vieil homme desserra quelque peu son étreinte, surpris. - Quel âge dis-tu ? - Dix huit ans, bredouillai-je. Le vieillard me lâcha tout à fait et se frappa le front : - Oh, mille excuses les jeunes, je croyais avoir affaire à une bande de ces petits morveux ! Mais vous êtes assez grands pour savoir utiliser un mouchoir à dix-huit ans, n'est-ce pas ? - Je... je pense... - Eh bien pour me faire pardonner, je te donne tous les bonbons que j'ai stocké dans mon grenier. Fais-en bon usage !
Et le propriétaire m'offrit un nombre incalculable de paquets de Chocoboos. J'étais tellement chargé que j'eus de la peine à répondre à son signe de la main lorsque je quittai le manoir. Trois jours plus tard, je n'avais écoulé qu'un tiers de mon stock et j'avais déjà gagné plus de trois-cent livres. Vraiment... ça en valait la peine !
- La petite maison grise de Torphichen:
Le ciel est noir, les arbres sont morts, les rues sont pleines, et les enfants déambulent, sans surveillance, entre toutes les maisons de la petite ville de Torphichen, en Écosse. Je fais partie d'eux, et avec mes 7 amis nous sommes heureux d'effrayer les gens qui nous ouvrent leur porte. Mais le plus intéressant reste la quantité de sucreries que les adultes nous donnent et leur diversité : sucettes, poudre, cristaux… Tout est merveilleux et nous fait voir le monde de manière différente ! Halloween est sûrement le plus beau jour de l'année. Ce jour-là, nous avions décidé de frapper aux portes dans une rue que nous n'avions jamais faite. La rue était plus éclairée que les autres, et nous nous demandions pourquoi les lumières n'avaient pas été éteintes. Ma maman disait que pour Halloween la ville éteignait toutes les lumières. Comme ça, elle jouait le jeu. Déguisée en fantôme, j'ai suivi Bryan, mon amoureux, dans la rue. Bryan n'a jamais peur, c'est ce que j'aime chez lui. Mes autres amis nous ont suivi, et nous avons marché longtemps avant d'arriver à une petite maison toute normale. À la fenêtre, un petit papy buvait un café, alors nous sommes allés sonner.
« Halloween, c'est le seul jour où les pédophiles ont livraison à domicile », dit la blague. Je pense que c'est vrai. J'aime à rester à ma fenêtre le soir du 31 octobre. Il est plaisant de voir les enfants et de contempler à la fois leurs atouts divers. De mon temps, on se déguisait différemment, mais aujourd'hui la mode des vêtements courts semble avoir tout phagocyté, alors je m'en accommode. Leur intelligence me fascine, c'est pourquoi je veux les examiner de plus près. Mais depuis quelques années, la mairie semble vouloir empêcher les enfants de passer devant chez moi, et la rue menant à mon adorable maison victorienne reste éclairée, ce qui ne met pas les enfants dans l'ambiance de secret et de tension que j'aime. Ce soir-là, je buvais mon café en écoutant de si magnifiques cris que j'étais coi et en adoration devant la performance. Lorsque ce qui ressemblait davantage à un cétacé qu'à autre chose eut terminé, je pensai à Claire et à ses deux enfants qui criaient à peu près de la même façon lorsque je venais les voir. Depuis, Claire m'a interdit de revenir. Ses plantes vertes sont à présent davantage à l'état de friche qu'autre chose, ce qui est tout à fait regrettable.
Le papy nous a ouvert, et notre menace de « un bonbon ou un sort » ne fut pas dite par nous. Le papy avait le regard méchant et tait chauve, et il nous a crié qu'il nous jetterait un sort de toute façon. Nous avons couru, mais il a capturé Alexis, et nous avons du courir à l'intérieur de la maison pour le rattraper. Dedans, tout était vieux et puait l'antiquité. Alexis criait, alors que le vieux montait les escaliers, mon ami sur l'épaule. Lorsque le papy nous entendit refermer la porte, il jeta Alexis et redescendit nous voir. Bryan le regarda dans les yeux et lui demanda de rendre Alexis, et que sinon il brûlerait toute sa famille et sa maison. Le papy avait toujours un regard de méchant, et comme je n'aime pas ça je me suis mise à pleurer, alors Bryan est venu poser son grand bâton dans mes mains, en disant qu'il ne fallait pas que je reste les mains libres et qu'il fallait que je lui rende service. Alors, j'ai pris le bâton et je l'ai secoué. Le papy eut peur et nous dit de partir après avoir rendu Alexis, dont le pantalon avait été baissé dans la bataille.
« “Notre père est vieux ; et il n'y a point d'homme dans la contrée, pour venir vers nous, selon l'usage de tous les pays. Viens, faisons boire du vin à notre père, et couchons avec lui, afin que nous conservions la race de notre père.” Elles firent donc boire du vin à leur père cette nuit-là ; et l'aînée alla coucher avec son père : il ne s'aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva. […] Les deux filles devinrent enceinte de leur père », dit un grand livre. Je me demande si le fait que les deux aillent coucher avec leur père était nécessaire. Étant donné que les deux sont tombées enceintes, une seule aurait suffit. Mais cela, elles auraient du le savoir avant, ce qui est difficile. Surtout, je me demande comment le père a pu réagir lorsqu'elles ont accouché. Peut-être s'est-il senti violé. Cela peut arriver à tout le monde, et je peux comprendre que le père se soit vengé sur ses filles. Avoir deux filles doit être grandement problématique, car en molester une attirera l'autre, et que tout discrétion est par conséquent impossible. Un garçon serait plus compréhensif. Ah ! Fatalité des choses, comme tu nous obliges à agir de bien triste manière !
Après avoir échappé au papy et avoir couru dans la rue, nous nous sommes aperçus que nous avions oublié notre papier à bonbons. Nous sommes retournés près de la petite maison grise, et nous avons exploré le jardin pour trouver une entrée discrète. Nous sommes alors entrés par derrière, et nous avons regardé la cuisine du papy. Un couteau était tout rouge de sang, alors Bryan nous a dit de nous calmer et il a pris le couteau. Il le tenait tout droit et nous a chuchoté qu'il avait envie de l'enfoncer quelque part, comme la fille pour Justin Bieber. Mais comme Jules a pris aussi un couteau, Paul leur a dit d'arrêter, et ils les ont reposés. On a commencé à chercher le panier en traversant la maison. Il y avait une pièce toute noire, et à l'intérieur il y avait des cages toutes sombres. Bryan a voulu aller voir, mais je lui ai dit que je voulais pas qu'il y aille, alors on a continué à chercher. On ne faisait aucun bruit, pour pas que Alexis perde encore son pantalon.
« Mes frères, je vous prie, ne faites pas le mal ! Voici, j'ai deux filles qui n'ont point connu d'homme; je vous les amènerai dehors, et vous leur ferez ce qu'il vous plaira. », dit le même grand livre. Encore une belle preuve de sa qualité. Étant donné que j'avais achevé de boire mon café, je descendis au rez-de-chaussée, espérant ne pas revoir les enfants que j'avais chassé il y a quelques temps. Alors que m'introduire chez des enfants m'est égal, voir des enfants s'introduire chez moi ne me plaît guère. La seule pensée qui se peut fuser dans mon esprit dans cette situation serait une idée de viol, sans doute. Le viol est nécessaire, toutefois il ne faut pas en abuser. Il a un objectif pédagogique et permet de se rendre compte de la réalité de certaines choses. Toutefois, il est important de ne pas surcharger l'enfant, qui peut en cas de saturation perdre les pédales et entrer dans une logique de répétition acharnée menant, bien évidemment à de graves et déplorables conséquences impliquant la prison et/ou la mort. En effet, le viol est assimilable à une drogue dangereuse, lorsqu'il est appliqué à une propriété privée. Une fois au rez-de-chaussée, je m'approchai de ma chambre noire, où sont entreposés mes trophées de chasse. Lorsque j'étais jeune, j'étais davantage intéressé par la capture que par la chasse, mais les contraintes pratiques me poussèrent à chasser les animaux capturés, et je dispose donc d'une large collection d'animaux empaillés que j'aime à observer lorsque la nuit est noire. »
Nous avons retrouvé le panier à côté de l'entrée, et le papy ne faisait aucun bruit. Bryan a voulu aller voir ce qui se passait à l'étage, puisqu'il disait avoir entendu un gémissement. Il a monté quelques marches, et j'avais peur pour lui. Je tremblais, mais il voulait vraiment savoir ce qui se passait, alors il ne me portait plus d'attention. Comme j'avais peur, je suis allée voir Alexandre, et il m'a réconfortée très gentiment. Bryan est revenu quelques secondes après, et il se dépêchait. Il nous a assuré qu'il avait vu le papy avec un couteau et un animal. On a tous eu peur, alors on est sortis en courant et sans oublier notre panier. Dehors, je suis tombée et je me suis fait mal derrière la cuisse. Le caillou qui m'a fait mal est vite parti, mais la douleur est restée sous ma cape de fantôme. Alors Bryan m'a fait un bisou magique là où j'avais mal, et les autres garçons sont venus aussi parce qu'ils voulaient me consoler et me faire plus de plaisir que de douleur. Comme ils étaient beaucoup, je leur ai dit qu'ils devaient tous me toucher, et que le premier pourrait me faire un bisou alors que les autres devraient enlever ma cape et moi du sol. C'est Bryan qui a gagné, alors il m'a fait un bisou derrière la cuisse, et j'ai beaucoup aimé.
« Quel est le point commun entre une petite fille et une Ferrari ? C'est difficile d'entrer, mais une fois qu'on y est, on est bien », dit la blague. Je pense en effet qu'entrer dans les profondeurs de l'intimité d'une petite fille doit être difficile, et que cela doit requérir moult efforts et exercices. C'est la raison pour laquelle nombre de petits garçons n'ont pas de petite copine. Il est trop difficile d'entrer en elles, d'entrer dans leur cœur, et les garçons sont trop jeunes pour s'être bien exercés. Je me suis longtemps exercé, moi, mais maintenant je suis trop vieux pour cela, alors j'erre dans ma maison, et je regarde mes anciennes vidéos de mise à mort de mes chers animaux capturés. La vidéo que j'affectionne le plus se passe dans un champ voisin de ma maison, et j'y tue une biche avec seulement un couteau, chose relativement amusante. Je préfère écouter des cris en buvant un café, mais c'est une activité assez intéressante. J'aime particulièrement empailler mes animaux chéris, mais c'est quelque chose de, finalement, assez secondaire. Je préfère mille fois effrayer des enfants.
Les autres garçons m'ont portée pour m'emmener près d'une haie, au fond du jardin, derrière un buisson. Dans la maison, la lumière était allumée en bas, et le papy entrait dans la pièce noire avant de sortir et de marcher un peu partout. Les garçons m'avaient emmenée, cachée et empêchée de crier, parce qu'ils ne voulaient pas que je fasse trop de bruit, sinon j'aurais pu alerter le vieux monsieur. Paul tomba se moi, endormi, alors je l'ai pris dans mes bras pour le bercer. Il était tout chaud et tout mou, comme s'il était évanoui. Quand je lui ai fait un bisou sur la joue, il s'est réveillé, et il m'a aussi fait un bisou. Dans la maison, on aurait dit que le papy était parti dormi, il n'y avait plus aucune lumière. Les garçons sont partis, mais moi je voulais rester toute seule, parce que je voulais retourner dans la maison. Quand je suis entrée, le papy est entré par derrière, et donc il était dans mon dos puisqu'il avait pris la même porte que Bryan toute à l'heure. Il m'a mis la main sur les lèvres et m'a demandé ce que je faisais dans sa maison. Comme j'avais mal, j'ai retiré sa main, et je lui ai donné un coup de poing entre les jambes, pour qu'il me laisse tranquille. Sans faire exprès, j'ai fait tomber son peignoir, et il était tout nu en dessous, alors je me suis enfuie pour me cacher derrière un fauteuil. Je regardais discrètement, et le papy a remis son peignoir avant de me chercher. Il a sorti des bonbons de la pièce noire, et il a posé une sucette sur la table, alors je suis allée la chercher pour la sucer, mais il m'a vu alors il ne m'a pas laissé avaler le sucre et m'a empêché de rester dans la maison, me mettant dehors à grand coups de pieds dans les fesses. Il m'a déchiré toute ma cape, et je suis rentrée à la maison toute sale. J'étais triste que mon déguisement soit déchiré, parce que j'avais mis du temps à le faire et que c'était Bryan qui m'avait aidé. Mais à la maison mon papa m'attendait, alors j'ai pu manger plein de bonbons et aller dans ma chambre en repensant au bisou magique de Bryan.
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| | Robin Vanille Messages : 55 Date d'inscription : 15/11/2014 Age : 28 | Sujet: Re: Votes concours Halloween Jeu 11 Déc - 17:48 | |
| De beaux textes, j'ai eu du mal avec l'aspect parodie moi è_é |
| | Nyx Messages : 88 Date d'inscription : 31/08/2014 Age : 25 Localisation : In the heart of a poppy | Sujet: Re: Votes concours Halloween Jeu 11 Déc - 19:12 | |
| C'est bon les Chocoboos je trouve |
| | LullabyConnasse Messages : 508 Date d'inscription : 28/07/2014 Age : 31 | Sujet: Re: Votes concours Halloween Lun 5 Jan - 9:52 | |
| Bon j'ai enfin voté (patapé) Faudrait finir ce concours Mid et penser au concours en commun ^^ (si tu as besoin d'aide fais signe) |
| | IskupitelSire de Picardie, Souverain des Isles de Coupe et de Pitel Messages : 496 Date d'inscription : 26/07/2014 Age : 26 Localisation : Ouest de la France | Sujet: Re: Votes concours Halloween Lun 5 Jan - 17:39 | |
| Félicitations aux Chocobos, alors Votre esprit est perverti, je sais pas ce que vous avez lu dans le texte 3 mais moi je l'ai trouvé très bien x') |
| | Meredith EpiolariReine de l'Impro Messages : 1431 Date d'inscription : 29/07/2014 Age : 26 Localisation : Between the peanuts and the cage | Sujet: Re: Votes concours Halloween Lun 5 Jan - 18:53 | |
| Genre, moi j'étais restée à l'égalité du 2 et du 3, quel est donc ce regain de citoyenneté chez les Zéphyriens ? O.o Je suis d'accord avec Isku, le texte 3 est le meilleur (Nan mais z'avez vous l'humour du 2 ? C'est graaaas ! O.o) Et je demande à l'auteur du texte 1 d'essayer de le finir parce que j'aimerais connaître la suite |
| | Nyx Messages : 88 Date d'inscription : 31/08/2014 Age : 25 Localisation : In the heart of a poppy | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mar 6 Jan - 7:57 | |
| J'approuve la Didith sur ce point là ! On veut la suiiiite |
| | MidnightMaîtresse incontestée des vices infantiles Messages : 359 Date d'inscription : 29/07/2014 Age : 24 | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mar 6 Jan - 16:13 | |
| Bah moi j'attendais qu'il n'y ait plus d'égalité pour finir Je déclare donc Rimi grande gagnante du concours d'Halloween ! |
| | Robin Vanille Messages : 55 Date d'inscription : 15/11/2014 Age : 28 | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mar 6 Jan - 16:20 | |
| Je crois que si je dévoile que je suis l'auteur du texte 1, je ne compromets pas les votes J'aimerais bien finir, mais j'avoue que je ne sais moi-même pas quelle est la fin xd J'ai écrit sans penser à la fin, du coup je suis bloqué, je voulais qu'il y ait un moment de frayeur puis que ça parte sur quelque chose de totalement délirant, parodique, mais impossible de continuer. J'ai remarqué quelques incohérences en relisant d'ailleurs, surtout cet extrait : "Remontant l’allée, une silhouette encapuchonnée nous fixe. Trapu, les traits indiscernables, l’individu n’esquisse aucun mouvement." Comment se déplacer sans mouvement ? |
| | Meredith EpiolariReine de l'Impro Messages : 1431 Date d'inscription : 29/07/2014 Age : 26 Localisation : Between the peanuts and the cage | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mar 6 Jan - 18:31 | |
| C'est pas grave Robin, si tu t'es rendu compte de cette incohérence tu vas pouvoir la corriger Si jamais tu retrouves l'inspiration, n'hésite pas ~ |
| | MidnightMaîtresse incontestée des vices infantiles Messages : 359 Date d'inscription : 29/07/2014 Age : 24 | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mer 7 Jan - 17:04 | |
| Je plussoie, j'ai été déçue de pas connaître la suite (Rimi, tu demanderas ton joli badge à Temi ) |
| | IskupitelSire de Picardie, Souverain des Isles de Coupe et de Pitel Messages : 496 Date d'inscription : 26/07/2014 Age : 26 Localisation : Ouest de la France | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mer 7 Jan - 20:48 | |
| En plus elle a un badge ? La prochaine fois j'vais t'éclater |
| | Meredith EpiolariReine de l'Impro Messages : 1431 Date d'inscription : 29/07/2014 Age : 26 Localisation : Between the peanuts and the cage | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mer 7 Jan - 20:59 | |
| Ah oui, j'avais oublié qu'il y avait quelque chose à gagner /PAN/ Que tu crois Isku, je vais t'écraser comme un moucheron |
| | IskupitelSire de Picardie, Souverain des Isles de Coupe et de Pitel Messages : 496 Date d'inscription : 26/07/2014 Age : 26 Localisation : Ouest de la France | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mer 7 Jan - 21:19 | |
| Tu me connais pas, j'viens d'la street ! Dès qu'y'a un truc gratos à récupérer... |
| | Alfy Messages : 96 Date d'inscription : 02/11/2014 Age : 27 Localisation : Làààààà ! | Sujet: Re: Votes concours Halloween Mer 7 Jan - 21:53 | |
| Je vote pour le trois, l'humour noir notamment de la blague et le premier paragraphe ; ça m'a rappelé un film où y a ça "Autumn, leaves are fallin' from the trees. Death is everywhere". Après bon, le bisou magique et autres. Fin c'est surtout pour les deux premières proposition en fait. Et aussi parce qu'un héros porte mon prénom. Le deuxième j'ai trouvé qu'il y avait peut-être trop de dialogues mais ça m'a fait pensé au club des cinq ou un truc dans le genre. Le premier m'a paru un peu trop classique, je l'avoue mais il était plaisant. Donc voilà, le trois. |
| | MidnightMaîtresse incontestée des vices infantiles Messages : 359 Date d'inscription : 29/07/2014 Age : 24 | Sujet: Re: Votes concours Halloween Jeu 8 Jan - 19:23 | |
| Même si ton vote arrive trop tard (oui, j'ai oublié de clore le sondage, me tapez pas), c'est cool de donner un avis plus développé Alfy |
| | Alfy Messages : 96 Date d'inscription : 02/11/2014 Age : 27 Localisation : Làààààà ! | Sujet: Re: Votes concours Halloween Jeu 8 Jan - 20:10 | |
| AH merde, bon il changeait rien après tout. Enfin détaillé... ça reste un défi, je pense que ça se critique vraiment pas forcément vu qu'il y a le thème imposé, etc... |
| | IskupitelSire de Picardie, Souverain des Isles de Coupe et de Pitel Messages : 496 Date d'inscription : 26/07/2014 Age : 26 Localisation : Ouest de la France | Sujet: Re: Votes concours Halloween Jeu 8 Jan - 20:55 | |
| Première réaction en lisant le commentaire d'Alfy : « J'ai nommé un perso Alfy ? oO' » Désolé d'avoir oublié x') Et merci pour ton commentaire, je suis bien d'accord avec toi ^^ Le bisou magique c'était juste histoire d'enchaîner les clichés mais en les déplaçant d'endroit. Vous remarquerez que j'ai savamment fait une histoire qui peut être interprétée de manière étrange avec un adulte qui a autant à se reprocher que la fillette. Mon objectif était simple : aborder des choses glauques (c'était Halloween, en même temps :')) tout en tentant de montrer que la pédophilie n'est pas simple et que, bien que je n'y connaisse absolument rien, je ne pense pas que cela soit uniforme. Après on peut y trouver que j'ai abordé de nombreux sujets : critique de la société, critique de l'éducation des parents, principes de groupe, sexualité infantile (≠ pédophilie, je rappelle ^^), critique de l'éclairage public défaillant, critique de la crise économique, Écosse, guerres Napoléoniennes (sisi, j'vous assure !), critique d'Halloween, critique de la violation de propriété privée, vieillesse, abandon des familles, et encore beaucoup d'autres Si quelqu'un d'autre avait écrit ce texte, je me serais bien amusé à le commenter :') |
| | | Sujet: Re: Votes concours Halloween | |
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